PDP AGRICOLE

Plateforme de dématérialisation partenaire pour la réception des
factures électroniques pour agriculteurs

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Passez à la facturation électronique en toute tranquillité avec une plateforme PDP Agricole de réception 100% agréée par le code des impôts

En optant pour une plateforme PDP de réception immatriculée par le code des impôts, vous sécurisez votre facturation électronique selon le modèle en Y.
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Conversion des documents

Selon la norme pour les factures électroniques
(Factur-X) intégrant un format XML

Contrôle et vérification

La plateforme PDP de réception contrôle et valide chaque document

E-reporting auprès de la DGFIP

Automatisation de l'envoi des factures électroniques auprès de la DGFIP

MIEUX COMPRENDRE

Le schéma en Y de la plateforme PDP Agricole

FAQ
Vos questions
Nos réponses

Le secteur agricole est pleinement concerné par la réforme de la facturation électronique obligatoire instaurée par l’État français, qui vise à moderniser les échanges commerciaux tout en renforçant le contrôle fiscal et la transparence des transactions économiques. Cette réforme impose à toutes les entreprises assujetties à la TVA, y compris les structures agricoles, de transmettre, recevoir et conserver leurs factures électroniques selon des formats précis et via des canaux certifiés. C’est dans ce contexte que les plateformes de dématérialisation partenaires, appelées PDP, entrent en jeu, en tant qu’intermédiaires agréés par l’administration pour gérer les flux de données fiscales entre les entreprises et la Direction Générale des Finances Publiques. Pour les acteurs du monde agricole, souvent organisés autour de coopératives, d’exploitations individuelles, de groupements de producteurs ou de sociétés agricoles, le recours à une plateforme PDP agricole permet de répondre à ces nouvelles obligations tout en tenant compte des spécificités de leur activité. Ce type de plateforme propose des services adaptés aux réalités de terrain, à la diversité des modèles économiques agricoles et à l’environnement technique dans lequel évolue le secteur. Elle assure un traitement conforme, sécurisé et fluide des documents fiscaux tout en facilitant leur intégration dans les outils de gestion utilisés dans les exploitations ou les coopératives.

Une plateforme PDP agricole est un acteur technologique immatriculé par l’administration fiscale, dont la mission est de prendre en charge le traitement des factures électroniques agricoles, dans le respect des normes fiscales définies par l’État. Elle est spécialement conçue pour répondre aux besoins des exploitants agricoles, des coopératives, des négociants, des centres de gestion ou des entreprises du secteur agroalimentaire ayant des échanges récurrents avec le monde agricole. Son rôle consiste à recevoir les factures émises par les producteurs ou les fournisseurs de matériel agricole, à vérifier leur conformité réglementaire, à les convertir dans un format structuré normalisé (Factur-X, UBL ou CII), puis à les transmettre à leurs destinataires via le Portail Public de Facturation ou directement à d’autres PDP, tout en assurant la remontée des données fiscales vers la Direction Générale des Finances Publiques. Cette chaîne de traitement, entièrement dématérialisée, permet de garantir l’authenticité des documents, la traçabilité des échanges et la conservation légale des pièces comptables dans un environnement sécurisé. La PDP joue également un rôle clé dans la simplification des démarches pour les agriculteurs, qui ne sont pas toujours équipés de solutions informatiques complexes ou de personnel comptable dédié. Elle s’intègre aux logiciels de gestion agricole ou de comptabilité utilisés dans les exploitations, facilitant ainsi l’automatisation des échanges de données comptables et fiscales sans rupture de processus.

Le fonctionnement d’une plateforme PDP dédiée à l’agriculture repose sur un processus normé, qui respecte à la fois les contraintes techniques fixées par la DGFiP et les particularités opérationnelles du secteur. Lorsqu’un agriculteur ou une coopérative émet une facture pour la vente d’un lot de céréales, de produits laitiers ou de bétail, celle-ci est générée à partir de son outil de gestion ou de son progiciel métier. La facture est ensuite transmise à la PDP, qui en effectue une vérification complète sur le fond et la forme, en s’assurant notamment de la présence des mentions légales obligatoires, de la cohérence des montants, du respect des formats structurés et de la validité des identifiants fiscaux. Une fois le document validé, la plateforme l’achemine soit vers la PDP du client si celui-ci en possède une, soit vers le Portail Public de Facturation, qui se charge de la transmettre au bon destinataire. En parallèle, la plateforme extrait les données de transaction nécessaires au suivi fiscal et les transmet à l’administration, conformément aux obligations de déclaration imposées par la réforme. Ce traitement s’applique aussi bien aux factures émises qu’aux factures reçues par l’exploitant agricole, avec un mécanisme similaire de contrôle, d’archivage, de conversion et d’intégration dans les outils comptables de l’entreprise. Le processus s’étend également au e-reporting, qui concerne les opérations non soumises à facturation inter-entreprises, comme les ventes aux particuliers ou à l’export, dont les données doivent être transmises à la DGFiP via la PDP. Cette architecture permet ainsi une gestion complète, automatisée et conforme des flux de facturation pour toutes les typologies d’acteurs agricoles.

Le secteur agricole présente des spécificités qui le distinguent des autres secteurs d’activité, notamment en termes de saisonnalité, de diversité des modèles économiques, de pluralité des statuts juridiques et de forte dépendance aux organismes intermédiaires. Une plateforme PDP agricole doit être capable de prendre en compte ces particularités afin de proposer un service réellement adapté aux contraintes du terrain. Elle doit pouvoir s’interfacer avec les outils les plus utilisés dans le monde rural, comme les logiciels de gestion agricole, les solutions comptables proposées par les centres de gestion agréés, ou les plateformes coopératives utilisées pour la gestion des ventes, des livraisons, des intrants ou des subventions. Elle doit également pouvoir traiter des volumes variables de factures, qui peuvent être très concentrés sur certaines périodes de l’année, ou dépendre de la nature des cultures ou des cycles d’élevage. Par ailleurs, de nombreuses exploitations ne disposent pas d’un service administratif dédié ou d’un service informatique, ce qui implique que la PDP doit proposer un accompagnement simple, pédagogique et intégré, sans complexité technique pour l’utilisateur final. Elle doit aussi permettre de centraliser l’ensemble des flux documentaires liés aux relations avec les fournisseurs d’engrais, les vétérinaires, les clients négociants, les coopératives, les acheteurs institutionnels ou les transformateurs. Le recours à une PDP agricole devient ainsi un facteur de simplification, d’efficacité et de mise en conformité pour des professionnels qui doivent avant tout se consacrer à leur cœur de métier.

La généralisation de la facturation électronique impose à tous les acteurs économiques de repenser leur mode de gestion des échanges comptables et fiscaux. Pour le monde agricole, l’adoption d’une plateforme PDP spécialisée permet de transformer une contrainte réglementaire en opportunité d’amélioration des pratiques. Elle offre une meilleure traçabilité des transactions, un contrôle automatisé des flux financiers, une réduction significative des erreurs de saisie, et une capacité de réaction plus rapide face aux demandes de l’administration fiscale. Elle facilite également l’archivage légal des documents, ce qui est essentiel dans un contexte où les audits et les contrôles peuvent intervenir à tout moment, notamment en cas de subventions publiques, de contrats d’approvisionnement ou d’exportations. Par ailleurs, la PDP contribue à renforcer la relation entre les différents maillons de la chaîne agricole, en fiabilisant les échanges de factures entre les producteurs, les coopératives, les transformateurs et les distributeurs. Elle permet également d’harmoniser les pratiques de gestion documentaire au sein d’un même territoire, d’un même bassin de production ou d’un groupement d’intérêt économique. Enfin, elle constitue un levier d’inclusion numérique pour les exploitations qui n’avaient pas encore engagé leur transformation digitale, en leur fournissant une solution certifiée, accessible et conforme, capable de s’adapter aux exigences de l’administration tout en respectant leurs réalités opérationnelles.